Résumés des article publiés
(Juin 2010)
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<span id="S. Bazin, N. Feuillet, C. Duclos, W. Crawford, A. Nercessian, M. Bengoubou-Valérius, F. Beauducel, S.C. Singh"></span>
<span id="S. Bazin, N. Feuillet, C. Duclos, W. Crawford, A. Nercessian, M. Bengoubou-Valérius, F. Beauducel, S.C. Singh"></span>
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*S. Bazin, N. Feuillet, C. Duclos, W. Crawford, A. Nercessian, M. Bengoubou-Valérius, F. Beauducel, S.C. Singh(2010),<u>The 2004–2005 Les Saintes (French West Indies) seismic aftershock sequence observed with ocean bottom seismometers</u>,Tectonophysics doi:10.1016/j.tecto.2010.04.005.
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*Bazin S. ,Feuillet N., Duclos C., Crawford W., Nercessian A., Bengoubou-Valérius M., Beauducel  F., Singh S.C. (2010),<u>The 2004–2005 Les Saintes (French West Indies) seismic aftershock sequence observed with ocean bottom seismometers</u>,Tectonophysics doi:10.1016/j.tecto.2010.04.005.
**'''Rapidement après le séisme des Saintes de 2004, l'IPGP en concertation avec l'INSU a mis en place en place une opération d'intervention pluridisciplinaire. Six OBS (sismomètres de fond de mer) ont été déployés autour de l’archipel des Saintes lors de la campagne GUADOBS(GUAdeloupe-Dominique OBS). Cette installation temporaire a permis de compléter le réseau terrestre de l’Observatoire Volcanologique et Sismologique de Guadeloupe et de préciser la localisation des répliques. Elle a ainsi pu déterminer précisément la portion de faille responsable du séisme. Cet article décrit l’activité des différentes failles et propose un modèle pour expliquer l’étonnante longévité des répliques qui se poursuivent encore actuellement.''' <span style="color:#800080;">  -  mis en ligne 03/06/10</span>
**'''Rapidement après le séisme des Saintes de 2004, l'IPGP en concertation avec l'INSU a mis en place en place une opération d'intervention pluridisciplinaire. Six OBS (sismomètres de fond de mer) ont été déployés autour de l’archipel des Saintes lors de la campagne GUADOBS(GUAdeloupe-Dominique OBS). Cette installation temporaire a permis de compléter le réseau terrestre de l’Observatoire Volcanologique et Sismologique de Guadeloupe et de préciser la localisation des répliques. Elle a ainsi pu déterminer précisément la portion de faille responsable du séisme. Cet article décrit l’activité des différentes failles et propose un modèle pour expliquer l’étonnante longévité des répliques qui se poursuivent encore actuellement.''' <span style="color:#800080;">  -  mis en ligne 03/06/10</span>

Version du 3 juin 2010 à 21:10

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